24 novembre – Entre détachements et attachements, le logement des migrant.e.s
Séance organisée par Jérémy Sauvineau (LIR3S) et Lucie Dupré (INRA-CESAER). Avec les interventions d’Emmanuelle Hellio (URMIS) et Jérémy Sauvineau
Séance organisée par Jérémy Sauvineau (LIR3S) et Lucie Dupré (INRA-CESAER). Avec les interventions d’Emmanuelle Hellio (URMIS) et Jérémy Sauvineau
Une lecture de : Emmanuel Bonnet, Diego Landivar, Alexandre Monnin, Héritage et fermeture. Une écologie du démantèlement, Paris, Éditions Divergences, 2021.
Conférence de Doris Farget, professeure au Département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal
Avec Rémi Eliçabe, Amandine Guilbert et Samuel Lehoux
Texte écrit par un collectif d’associations de l’agglomération dijonnaise et déposé dans le registre dématérialisé de l’enquête publique relative à la modification du PLUi-HD.
avec Hélène Tordjman et Timothée Parrique
Avec trois défenseur.euse.s du territoire de l’Isthme de Tehuantepec (Mexique) en lutte contre l’extractivisme des projets éoliens industriels dans la communauté zapotèque de Union Hidalgo et contre les mines à ciel ouvert dans...
par Lucie Dupré, François Jarrige, Antoine Lagneau, Yannick Sencébé et Jean-Louis Tornatore
Appel à reprendre les terres et bloquer les industries qui les dévorent
Avec Josep Rafanel i Orra et Lylian Couapel
Avec Vincent Chambarlhac, Noël Barbe et Nayeli Palomo
Ouvert à l’automne 2016, au sein du Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche “Sociétés, Sensibilités, Soin” (LIR3S), l’atelier “penser les transitions” réunit des universitaires, des chercheur.ses de l’université de Bourgogne, de l’Inrae, de l’institut Agro Dijon, de l’IRTESS, mais aussi des personnes engagées dans un pensée pratique en écologie politique. Il s’est formé d’emblée sur l’objectif critique d’ouvrir la boîte noire du vocabulaire de la transition pour en éclairer les sous-entendus, les ambiguïté et les non-dits, mais aussi dans la perspective d’engager un geste spéculatif visant à penser la transition en tant que processus de transformation radicale du monde.
Depuis les années 1980, des mots nouveaux prolifèrent et recomposent en profondeur le langage politique comme celui des sciences sociales. Le concept de transition est de ceux-là. Comme « risque » et « développement durable », ces notions profondément ambiguës ont conquis en quelques années une audience considérable. La transition peut être démographique, démocratique, écologique, énergétique ou sociale. La prolifération de l’idiome des transitions accompagne l’émergence d’une nouvelle conception du changement socio-historique et interroge en profondeur les trajectoires de la mondialisation, du capitalisme et de son appareillage technoscientifique.